T. Mérida James : "La seule chose qui compte, savoir que l'on peut compter sur des personnes qui nous ai cher "

Théa Mérida James

"J'ai passé toute ma vie à chercher mon père, tu as passé tout ton temps à me fuir."

Imaginez-vous naitre dans les paillettes et les strass, dans un monde où qu'importe les amis, vous n'êtes qu'une chose superficielle dans la vie de tous les jours.
Dans ce monde où tout n'est que guerre amicale pour se faire connaître et trouver sa place. De temps en temps un bonne liasse de billet de 100 peut vous donner une place tellement agréable pour certains.
Mon nom est connu de tout San Francisco, vous devez me connaître sans même, que je ne vous connaisse moi-même. Vous voulez me connaître, il suffit que je vous dis que tout le monde me surnomme T', que vous allez découvrir mon nom et croire tout savoir de moi.
Oui, je suis Théa Mérida James, la fille de Monsieur et Madame James. J'ai la chance, enfin non je n'ai pas eu de chance pour connaître mon père, il est vrai que je manquais d'un père, mais je ne peux pas dire que ma mère n'a pas voulu aider pour remplir ce vide, mais ce qu'elle n'a pas compris c'est que je désirais plus mon père biologique que tous ses père de substitutions. Je pense que mes frères, doivent avoir les mêmes sentiments d'incompréhension que moi auprès de ma mère. Mais eux et moi, nous ne disions rien, c'est lorsqu'elle s'est mariée avec Bart Bass que nous avons commencé à nous rebeller.
Mais ce manque de paternité,  m'a poussé à devenir une peste à être une reine, mais aussi à faire de la vie des autres un enfer. Ce qu'il faut savoir c'est que je ne voulais pas être comme ça, mais je ne voulais pas être la risée de toute l'école, alors pour être la personne la plus "cool", la plus fantastique je faisais la fête presque tous les week-ends, mais de temps en temps même les jours de semaines, je préférais boire, me droguer, m'amuser qu'importe les conséquences que d'aller en cours et de faire attention à mon avenir.
A un moment, j’ai totalement perdu les pédales, je n’allais plus en cours, mentais à mon entourage qui pourtant avait toujours été là pour moi. Le jour où tout à basculer c’est lorsque je me suis retrouvé à l’hôpital couverte de bleue et la bouche en sang, cela faisait trois mois que j’avais rencontré un garçon plus âgée que moi en ce temps-là je n’avais que 16 ans et la drogue, l’alcool et tout le reste je connaissais plus que bien, mais revenons à nos mouton, Johan était âgée de 24 ans, j’étais « folle » de lui, il était plus âgée, plus fort, tout le rêve des jeunes filles de mon âge, en même temps ça ne pouvait être que logique. Et voilà que je me perd encore dans les passage inutile, donc je suis arrivée à l’hôpital totalement défigurée, je me rappelle que je ne voyais que d’un œil tellement l’autre était gonflé, que j’avais le goût de sang dans la gorge, si j’en étais arrivé là, c’est que Johan avait une petit amie plus âgée que moi, je n’y aurait jamais pensé, il faut me croire, et un soir en me rendant chez lui, c’est elle qui a ouvert, un être sous le nombril, je pensais que c’était sa sœur, puisqu’il m’avait dit qu’il vivait avec elle, mais tout au contraire c’était sa petite amie et elle savait que j’arrivais, j’ai reçu plusieurs coup dans le ventre par d’autre personnes qui se trouvait dans la pièce, lui aussi était là, assis dans le fauteuil à me voir me faire battre comme un vulgaire bout de chiffon, j’ai réussi à me relever quand ces personnes ont fini par se lasser de moi et m’ont balancé dans la ruelle, je suis parti en direction de l’hôpital à pied sous ma capuche qui cachait mon visage et le téléphone à la main, mais je savais très bien que je ne pourrais guère parlait au téléphone, si j’appelais un côté où un autre personne ne me comprendrait.
En arrivant à l’hôpital, je me suis dirigée vers l’accueil et là tout est aller si vite ils ont téléphoné à ma mère qui est arrivée avec mon frère jumeau, mon frère ainé sur les talons. J’avais mal, je me rappelle juste d’un séjour de 2 mois à l’hôpital pour que tout soit comme avant, ma mère ayant peur pour son estime dans la ville a dit que j’étais partis pour la France, chez mon père que je ne vois jamais et en ce qui concerne mes frères, ils étaient toujours à mon chevet pour que je puisse me sentir moins seuls.
Désormais, ce lourd secret dont j’ai très honte et du passé, bien effacé de toute les mémoires de la famille sauf la mienne, j’ai repris mes études en mains, et il fut temps, je ne sortais plus et travaillais d’autant plus, mes frères me pensaient folle où que j’avais peur de sortir, mais non, j’avais vu la mort à mes pied ce jour-là et j’en ai vu défilé ma vie qui n’est guère fière à vivre.
Aujourd’hui, j’ai 24 ans, je vis ma vie au jour le jour, je fais des études de droit pour protéger les innocent des injustices qu’ils peuvent vivre, ma mère me répondrait que des moments ces personnes ne sont pas plus innocente qu’un babouin qui mange la banane de son voisin. Elle a sans doute raison, mais je ferais de mon mieux pour que justice soit faite.
En ce qui concerne ma vie Amoureuse, c’est un pure désastre, pourquoi ? Mais parce que depuis mon malheureux accident de mes 16 ans, je n’arrive plus à faire confiance aux hommes, de peur que tout déraille alors de temps à autre, je perds à un jeu ou je ne souhaiterais que gagner.
J’ai toujours eu du mal à faire confiance, mais depuis cette histoire, je me suis renfermé sur moi, les hommes sont pour moi des bombes, des mines, en effet ce sont des choses à évité, et à ne pas toucher de trop près, vous devez vous demander si je suis encore vierge, la réponse est non avant ce malheureux accident de parcours, j’ai eu mes moment de débauche, et je suis sorti aec quelque gars après, mais rien de sérieux, je ne veux plus retomber amoureuse, enfin si je le veux, mais je veux trouver, le bon … Pas vous ?

Bon je vous laisse, je vous adore.


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